Nez rouges

Du 1er au 31 décembre le mur des autres accueille les "Nez rouges" de MYILLE...














"L’humour, c’est la politesse du désespoir. L’actualité est telle que ce désespoir nous envahit…




Ces portraits expriment la souffrance, la tristesse. On veut nous faire croire n’importe quoi, nous faire tout avaler…



Le nez rouge est là pour nous rappeler que la vie doit être légère et gaie.





Ces hommes qui font l’actualité nous le rappellent à leur détriment. A leur façon se sont aussi des clowns, comme nous tous !




Dans mon travail je ne suis pas un chemin bien défini, mais je bifurque sans cesse pour repartir à zéro, me renouveler à chaque fois.




J’utilise indifféremment l’huile ou l’acrylique sur support bois, ainsi que le papier sous toutes ces formes et caractères.










Et comme une obsession des formes en relief sortent du tableau… cette fois, c’est le nez rouge.. "


MYILLE

Mosaïques en bois de bout

Du 1er au 27 novembre exposition des mosaïques en bois de bout de Jean-Luc MÉRIGOT.






Bientôt une habitude en ce mois de novembre, grâce à Jean-luc MÉRIGOT le bois avance jusqu'au "mur des autres". Cette troisième exposition nous permet d'apprécier une fois encore la créativité de l'artiste, mais aussi sa capacité à évoluer, à "grandir" dans son travail de "mosaïste", à s'ouvrir à d'autres horizons... A vérifier en consultant ici les pages qui lui sont consacrées (Novembre 2008 et 2009)



Musicien de formation, Jean-Luc MERIGOT mène sa vie avec le bois depuis trente ans.
Dans son travail, il est en harmonie avec ce matériau dont il explore les textures et chromatismes subtils.




Ses mosaïques en bois de bout, ses panneaux lamellés collés, sont autant de facettes révélatrices de sa sensibilité.




Ni marqueterie, ni sculpture, ni ébénisterie, ses œuvres se démarquent des traditions pour emprunter une voie originale et sincère, en perpétuelle recherche.



À une époque où l’événement prime sur la lente élaboration d’un langage, Jean-Luc MERIGOT fait partie de ces faiseurs d’art qui se confrontent quotidiennement à une matière, en espérant y apporter un peu de leur âme…





Le vernissage

Exalter le dérisoire

Du 4 au 30 octobre,
exposition des photographies d'Albane ESPARBÉ.







"Exalter le dérisoire

Voir et donner à voir ce que personne ne regarde, ce qui est délaissé, oublié, négligé, jeté, ce qui est devenu pitoyable et pourtant ce qui fût là pour nous servir.


Mettre en évidence le temps, le travail du temps et des intempéries, érosion créatrice, écriture, sculpture, fabrication de couleurs et de matières.


Associer lignes et matières, jouer avec ce qui m'a été proposé.




Etre dans l'interrogation même et inviter le spectateur à rentrer dans l'interrogation."
.... Albane Esparbé







Albane ESPABÉ et un admirateur...

Eric ALFIERI

Du 1er au 30 septembre, exposition des œuvres de Eric ALFIÉRI.

INDUSMETRIE

A partir du 3 Juin, exposition des photographies de ZAN






Photographier la réalité est un moyen d’en conserver une trace,





la transformer avec son regard est une façon de créer







et de faire perdurer quelque chose qui n’existe pas à l’origine.











Supplanter la logique et contourner le réel, utiliser la géométrie et l’optique pour créer l’illusion et ainsi mystifier l’anodin,



c’est créer un rêve presque réel, palpable car il suffit de le regarder d’une certaine façon.





Faire figurer l’irréel dans la réalité est certes un moyen d’évasion,





mais surtout une façon singulière et décalée de transmettre des émotions, des sentiments, un concept.