mardi 6 décembre 2011

Gil Manconi


Du 1er au 31 décembre 2011, exposition des œuvres de 





 
<< Des éléments géométriques s’opposent et se superposent dans l’espace, par un jeu de lignes, de textures et de couleurs au contraste fort.
  Le graphisme des formes, la sobriété des matières, traduisent une exigence, une recherche du juste équilibre, pour qu’au-delà des apparences se révèle l’essentiel.
 
La matière est là, au travers  des symboles, rendant perceptible une quête intérieure, un désir de vérité indispensable pour que s’harmonisent des opposés. >>



Le vernissage ( photos JF Gleyze )










vendredi 4 novembre 2011

Bruno BOËGLIN

Du 3 au 30 novembre 2011, Bruno BOËGLIN expose ses peintures inspirées des dessins de sables des indiens Navajos

 







Les dessins de sable des indiens Navajos





La voie de la beauté
Le mot « art » n’existe pas en navajos.





« Notre Bible dit : « au commencent… », pour les Navajos, le commencement n’existe pas. Ils ont toujours été là, tels qu’ils sont aujourd’hui.





 

















Lorsque la terre fut créée, lis étaient là ; quand le ciel fut tendu au-dessus d’eux, ils étaient là ; là quand les montagnes sacrées surgirent et quand la mer, la grande mer, fut placée dans l’univers ; quand le soleil se forma, quand le premier maïs blanc poussa, ils étaient là ; là aussi quand le maïs jaune jaillit et que le pollen sacré prit forme.

Pour les Navajos, il n’y a pas eu d’origine, pas de commencement. »


mercredi 12 octobre 2011

Paul MORELLET

Du 3 au 29 octobre, exposition des peintures ( huile sur toiles) de Paul MORELLET




Monsieur Newton n'avait pas raison


Passage de l'outarde en mai


Petite fenêtre distante
















L'oiseau sur la branche
Celui qui porte le chapeau



Der grune reiter



Le vernissage


lundi 12 septembre 2011

Charles Ackermann

Du 3 au 30 septembre, exposition des œuvres de Charles Ackermann










« L’âme des portraits de Charles Ackermann »

(Article de Florence Fabre / Le Progrès du 11/09/2011)


« Pour le premier rendez-vous de la rentrée, « le mur des autres » est dédié au peintre et illustrateur, Charles Ackermann.

Ce diplômé de l’École d’Art Appliqués lyonnaise propose une réflexion autour de l’être humain.


Ses portraits, d’une précision chirurgicale, sont saisissants de vérité, comme habités. Le peintre s’attarde sur les yeux de ses personnages, énigmatiques et fascinants qui semblent interpeller le public. »





« Charles Ackermann parle de l’âme humaine en proposant des portraits saisissants de vérité. »













Le vernissage




Charles Ackermann



samedi 9 juillet 2011

L'Autre c'est moi...



Pendant l'été, exposition de quelques toiles réalisées antérieurement à mes "boîtes"...




samedi 7 mai 2011

CÉDÉ & KELIL

Du 2 au 31 mai, exposition des peintures de CÉDÉ et des sculptures de KELIL



Cédé au discret raffinement…


Dans la peinture de Cédé passe comme un souffle nouveau, une énergie, une impulsion… sa figuration donne vie à des masses rythmées, simplifiées, sous-tendues à une réflexion sur la créativité. Les coloris en nombre restreint sont toujours habités de fougue, et d’une présence au discret raffinement.





Scènes urbaines où des personnages sans visages accentuent la puissance naturelle des lieus, ou compositions florales sages avec l’unique intention de plaire, cédé garde la maîtrise acquise de son métier.


Ses tableaux semblent comme saisis sur le vif, et peints d’un seul geste… pourtant l’on devine, derrière les nombreuses couches de peinture, toutes les batailles que le peintre a livrées contre l’évidence.




Des années d’observation ressortent derrière les passages successifs de l’huile.Petit à

petit l’anecdote s’efface au profit de l’émotion authentique, le sentiment s’impose comme le véritable sujet.








La peinture de Cédé scrute les émotions...





Cédé vit et travaille à Tain-l’hermitage, et expose pour la deuxième fois fois sur le "mur des Autres"









Né en 1956 à Lyon, KELIL est métallier de profession. Ce n’est que tardivement qu’il exploite son savoir faire accumulé dans sa profession au service de son art, se lançant à fond dans cette passion qu’il n’osait exprimer auparavant.



Il aime détourner les objets de leur fonction originelle pour leur donner un nouveau sens. Souvent matériaux de récupération, qu’il découvre en fouillant dans les bennes à rebuts industriels.















« Je découvre un
objet et sa forme semble m’aspirer et provoquer ainsi l’inspiration. C’est elle qui me guide et me montre finie, ce que sera mon œuvre. Nombreuses d’elles sont le reflet de mes inquiétudes, de mes tourments, mais aussi de mes espoirs. »





Parallèlement à ce travail de « recyclage », KELIL travaille sur une série de sculptures qu’il nomme « Les Gardiens » ; Gardien de la tolérance, Gardienne de la vie, des naissances. Ces gardiens sont là pour veiller sur nous, nous rappeler nos limites en ce monde.




Il les veut sobres, tranquilles, protecteurs et solides, masculins/féminins, Gardiens/Gardiennes.


« Le secret de la vie est dans la rencontre et l’acceptation de nos différences. Tel est le message que j’aimerais adresser à tout ceux qui souhaitent comprendre mon travail. »