INDUSMETRIE

A partir du 3 Juin, exposition des photographies de ZAN






Photographier la réalité est un moyen d’en conserver une trace,





la transformer avec son regard est une façon de créer







et de faire perdurer quelque chose qui n’existe pas à l’origine.











Supplanter la logique et contourner le réel, utiliser la géométrie et l’optique pour créer l’illusion et ainsi mystifier l’anodin,



c’est créer un rêve presque réel, palpable car il suffit de le regarder d’une certaine façon.





Faire figurer l’irréel dans la réalité est certes un moyen d’évasion,





mais surtout une façon singulière et décalée de transmettre des émotions, des sentiments, un concept.

Lumière fragile

Exposition des œuvres de cédé du 4 au 29 mai




Cédé au discret raffinement…



Dans la peinture de cédé passe comme un souffle nouveau, une énergie, une impulsion… sa figuration donne vie à des masses rythmées, simplifiées, sous-tendues à une réflexion sur la créativité.


Les coloris en nombre restreint sont toujours habités de fougue, et d’une présence au discret raffinement.






Scènes urbaines où des personnages sans visages accentuent la puissance naturelle des lieus, ou compositions florales sages avec l’unique intention de plaire, cédé garde la maîtrise acquise de son métier.



Ses tableaux semblent comme saisis sur le vif, et peints d’un seul geste… pourtant l’on devine, derrière les nombreuses couches de peinture, toutes les batailles que le peintre a livrées contre l’évidence.



Des années d’observation ressortent derrière les passages successifs de l’huile.
Petit à petit l’anecdote s’efface au profit de l’émotion authentique, le sentiment s’impose comme le véritable sujet. La peinture de cédé scrute les émotions…




Cédé vit et travaille à Tain l'Hermitage.

PIJU

Du 1er au 30 avril, exposition des œuvres de PIJU





"Enfant du voyage, accro du sac à dos, mes première prises de conscience se font tôt, en pleine jungle guatémaltèque, au sommet d’un volcan indonésien ou d’une pagode
birmane.


C’est une jeunesse dispersée autour du monde qui m’a doté d’un œil bouillonnant d’images et d’une conscience connectée à ses souvenirs, ses pensées, ses désirs…


Le chemin de la création s’est ouvert devant moi, naturellement comme une évidence. Inspiré d’un côté par de nombreuses cultures effleurées au cours de ces années


et d’un autre par de riches attraits envers quelques courants artistiques comme l’Art Nouveau, Abstrait, Contemporain, Singulier.. ou dernièrement le Psychédélisme.


Ma technique empreinte des tracés automatiques et les mélange avec des éléments de plus en plus figuratifs


L’automatisme me permet de rester sensible et ouvert à de nouvelles découvertes et sans la contrainte de l’intention ou de la raison, les possibilités s’amplifient quelques fois pour déclencher spontanément des idées encore plus folles




Ce travail est pour moi un réel voyage de tous les jours..."

Patricia PERRIER-RADIX

Du 2 au 31 mars, exposition des œuvres de Patricia Perrier-Radix








« Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu le crayon facile. La peinture s’est révélée à moi comme une évidence, elle est devenue au fil des années une passion, mystérieuse, dévoreuse, savoureuse……


on ne choisi pas d’être artiste, on le devient en voyageant à contre courant, c’est un voyage intérieur qui fait souvent remonter des vérités, des émotions cachées.


Autodidacte, j’ai pratiqué pendant quelques années l’aquarelle puis l’acrylique et l’huile, matières que je peux "sculpter" sur la toile, du lisse au craquelé, du soyeux au gratté. Je peins essentiellement aux couteaux, pour une pâte plus généreuse, plus tonique.


C'est dans le désordre de mon atelier que s'opère la magie, chaque jour, le bonheur de peindre reste entier, avec ses doutes et ses exaltations... puis vient le moment de montrer à mes toiles le monde du dehors. »

Patricia Perrier.Radix






Le vernissage

Patricia PERRIER-RADIX

Yann RIVRON

Du 1er au 27 février, Yann RIVRON expose ses peintures en technique mixte.






Né à Lyon le 22 octobre 1960, Yann Rivron passe deux années à l’Ecole Nationale des Beaux-Arts de Lyon et s’intéresse aux techniques du maquettisme et du graphisme publicitaire.


Dès septembre, il parfait sa formation et travaille pour différents magazines régionaux et agences de publicité.

Parallèlement, il mène sa propre recherche d’expression plastique sur différents supports et grâce à diverses techniques, huile sur toile principalement.



Ses thèmes de prédilection sont d’abord l’enfance (jeux et mouvement) et les animaux mythologiques, puis la femme, la musique et la danse.

Sa fascination pour le mouvement et la couleur commence à se traduire dans sa technique même par « l’exécution d’une seule traite » de ses dessins, et dès 90 pour une orientation marquée pour l’illustration « en direct ».

Il participe à des lectures de texte qu’il illustre et travaille pour des metteurs en scène (D. LARDENOIS, G. DUCLOUX, R. TOPOR…), une chorégraphe (S. TABAKOV), des musiciens (D.N.C., Trio à Cordes, Jazz à Vienne Off…)

A l’automne 96, il est l’invité permanent de la Biennale Internationale de la Danse de Lyon…