Du 2 au 31 Décembre "le Mur des Autres" accueille les bijoux de Laurence Favre-Lorraine.
Également exposés à l'atelier :
Les mosaïques de Nadia Quinet-Lemoine
Et les mobiles de Jacques Thielen
Artiste plasticien, j’ai un atelier au cœur de l’un des quartiers historiques de Lyon, les Pentes de la Croix-Rousse. Ce local permet non seulement mon travail de création, mais aussi son exposition. « Le Mur Des Autres » est réservé à l’exposition du travail d’autres artistes…, espace libre pour partager avec les visiteurs leurs visions du monde. Si les murs sont trop souvent symboles de séparation, celui-ci pourrait devenir un lieu de réunion................ Richard FUINEL
lundi 10 novembre 2008
jeudi 2 octobre 2008
Le Bois en Mosaïque
Du 3 au 30 Novembre Jean-Luc Mérigot expose ses mosaïques en bois de bout.
Musicien de formation, Jean-Luc MERIGOT mène sa vie avec le bois depuis trente ans. Dans son travail, il est en harmonie avec ce matériau dont il explore les textures et chromatismes subtils.
Ses mosaïques en bois de bout, ses panneaux lamellés collés, ses boîtes, sont autant de facettes révélatrices de sa sensibilité.
Ni marqueterie, ni sculpture, ni ébénisterie, ses œuvres se démarquent des traditions pour emprunter une voie originale et sincère, en perpétuelle recherche.
À une époque où l’événement prime sur la lente élaboration d’un langage, Jean-Luc MERIGOT fait partie de ces faiseurs d’art qui se confrontent quotidiennement à une matière, en espérant y apporter un peu de leur âme…
Jean-Luc Mérigot
Musicien de formation, Jean-Luc MERIGOT mène sa vie avec le bois depuis trente ans. Dans son travail, il est en harmonie avec ce matériau dont il explore les textures et chromatismes subtils.
Ses mosaïques en bois de bout, ses panneaux lamellés collés, ses boîtes, sont autant de facettes révélatrices de sa sensibilité.
Ni marqueterie, ni sculpture, ni ébénisterie, ses œuvres se démarquent des traditions pour emprunter une voie originale et sincère, en perpétuelle recherche.
À une époque où l’événement prime sur la lente élaboration d’un langage, Jean-Luc MERIGOT fait partie de ces faiseurs d’art qui se confrontent quotidiennement à une matière, en espérant y apporter un peu de leur âme…
Jean-Luc Mérigot
jeudi 4 septembre 2008
CHAMP LIBRE
Du 1er au 30 Octobre, Véronique DEVIGNON expose son travail sans perdre le fil ...
Corde sensible
J’ai envie de peindre nos histoires avec une aiguille, des bouts de fil et des petits morceaux de tissu, comme d’autres le font avec de la couleur sur une toile.
En observant la vie, je la vois souvent s’effilocher, s’user et partir en lambeaux.
Le langage courant le dit de cent façons : on est sur la corde sensible, on est dans de beaux draps, on perd le fil, on file un mauvais coton, on tisse des liens, on noue une amitié, on se raccommode, on répare les accrocs, on connaît les ficelles du métier, on démêle l’écheveau, ça nous donne du fil à retordre…On parle même de « tissu » économique et social…
Parce que la vie ne tient qu’à un fil, parce que nous passons notre temps à rafistoler nos histoires emmêlées,parce que nos existences
sont de véritables sacs de nœuds, mon œuvre est l’expression de cette tentative sans cesse renouvelée de créer des liens.
Je raconte, du bout de l’aiguille, ce qui se brode et se trame patiemment au fil des jours.
Véronique Devignon
Les « filambules » sont à l’image de l’existence :
si près de n’être rien,
si ténus, si peu de chose…
Ils sont faits de ces petits cailloux que l’on sème pour ne pas se perdre.
Ils sont comme des notes suspendues à la gamme, parfois harmonieuses, parfois discordantes.
Staccato, glissando, moderato, pianissimo, allegro, ils vont dans les fluctuations du temps, au rythme de leurs joies et de leurs incertitudes,
Ils sont tous ces petits riens, petits mots, petits gestes, petits liens,
tous ces « pas grand-chose » qui colorent nos existences .
La vie est gracile, fragile, mais si dense …
Corde sensible
J’ai envie de peindre nos histoires avec une aiguille, des bouts de fil et des petits morceaux de tissu, comme d’autres le font avec de la couleur sur une toile.
En observant la vie, je la vois souvent s’effilocher, s’user et partir en lambeaux.
Le langage courant le dit de cent façons : on est sur la corde sensible, on est dans de beaux draps, on perd le fil, on file un mauvais coton, on tisse des liens, on noue une amitié, on se raccommode, on répare les accrocs, on connaît les ficelles du métier, on démêle l’écheveau, ça nous donne du fil à retordre…On parle même de « tissu » économique et social…
Parce que la vie ne tient qu’à un fil, parce que nous passons notre temps à rafistoler nos histoires emmêlées,parce que nos existences
sont de véritables sacs de nœuds, mon œuvre est l’expression de cette tentative sans cesse renouvelée de créer des liens.
Je raconte, du bout de l’aiguille, ce qui se brode et se trame patiemment au fil des jours.
Véronique Devignon
Les « filambules » sont à l’image de l’existence :
si près de n’être rien,
si ténus, si peu de chose…
Ils sont faits de ces petits cailloux que l’on sème pour ne pas se perdre.
Ils sont comme des notes suspendues à la gamme, parfois harmonieuses, parfois discordantes.
Staccato, glissando, moderato, pianissimo, allegro, ils vont dans les fluctuations du temps, au rythme de leurs joies et de leurs incertitudes,
Ils sont tous ces petits riens, petits mots, petits gestes, petits liens,
tous ces « pas grand-chose » qui colorent nos existences .
La vie est gracile, fragile, mais si dense …
mercredi 16 juillet 2008
Trait pout traiT
Jean-Christophe Martinez expose ses peintures acryliques sur toile, du 1er au 30 Septembre en synergie avec deux autres expositions, l'une chez "Confidence" (8 rue de Fleurieu 69002 Lyon), l'autre chez "Le Provençal" (18 rue Pailleron 69004 Lyon).
Voici son monde, celui du noir et du blanc qui épousent la couleur, celui des lignes qui s'entrecroisent, se croisent et se recroisent pour former un visage.
Il navigue entre les droites, les courbes et les angles qui allongent, adoucissent ou durcissent le modèle.
Les styles se mélangent, les continents se rencontrent, le moderne côtoie la tradition. Les caractères se forment et les expressions se lisent.
"Trait pour traiT", n'est rien d'autre que lui; homme d'entre les siècles, inspiré du passé, baignant dans le présent et regardant vers l'avenir... Jean-Christophe Martinez se veut multiple et unique à la fois...
Voici son monde, celui du noir et du blanc qui épousent la couleur, celui des lignes qui s'entrecroisent, se croisent et se recroisent pour former un visage.
Il navigue entre les droites, les courbes et les angles qui allongent, adoucissent ou durcissent le modèle.
Les styles se mélangent, les continents se rencontrent, le moderne côtoie la tradition. Les caractères se forment et les expressions se lisent.
"Trait pour traiT", n'est rien d'autre que lui; homme d'entre les siècles, inspiré du passé, baignant dans le présent et regardant vers l'avenir... Jean-Christophe Martinez se veut multiple et unique à la fois...
AzAL
Du 1er Juillet au 31 Août, exposition des peintures acryliques sur toile d'Azal.
Déjà connu pour ses compositions de musique électronique sous le pseudonyme d'Azaliah, Fabien change de longueur d'onde et se confronte à celle de la lumière dans ses créations acryliques sur toiles, avec le pseudonyme d'Azal.
Déjà connu pour ses compositions de musique électronique sous le pseudonyme d'Azaliah, Fabien change de longueur d'onde et se confronte à celle de la lumière dans ses créations acryliques sur toiles, avec le pseudonyme d'Azal.
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